PICICA: "Publicado em 11 de nov de 2015
«
Donner à entendre aux auditeurs l'univers créé par l'un des plus grands
cinéastes du XXème siècle. Cet univers qu'il voyait comme une image du
monde qui nous entoure et du monde intérieur, le sien et celui de ses
âmes sœurs qu'il espérait trouver parmi les spectateurs de ses films.
Exprimer cet univers (sans l'expliquer) à travers les 8 seuls films
qu'il a réalisés et qui ont fait le tour de la terre : "Le Rouleau
compresseur et le violon", "L'Enfance d'Ivan", "Andrei Roublev",
"Solaris", "Le Miroir", "Stalker", "Nostalghia" et "Le Sacrifice".
Tendre vers ce qu'il pressentait d'unique dans le déroulement du temps,
comme un tout en chacun et dans le monde créé. Par la radio, le son de
la terre qu'il filmait, pétrie d'eau, ou le son de la terre dans le
cosmos. Sons, musiques, voix, paroles.
Très librement, mais par notre connaissance de son œuvre et de sa vie un temps côtoyée, l'émission tentera d'amener l'auditeur au seuil de ce mystère que Tarkovski laissait vivre dans son travail créatif. Vers cette renaissance spirituelle qu'il appelait dans tous ses films face au matérialisme dominant. Sa discothèque personnelle, de rares interviews, des lectures d'inédits, comme le scénario "Vent clair", mais aussi de ses livres publiés :"Le Temps scellé", "Le Journal" (Editions des Cahiers du Cinéma), "Les Oeuvres cinématographiques complètes" (Editions Exils), etc.
Les poèmes de son père Arseni Tarkovski qui ponctuent ses films... des témoignages qui montrent combien son œuvre réputée difficile a été reçue avec profondeur et émotion : le metteur en scène Claude Régy, Joël Jouhanneau et Michel Bonpoil qui ont mis en scène au Centre Pompidou le "Visa Tarkovski", le cinéaste et ami de Tarkovski, Paradjanov, et l'un des seuls religieux qu'ait rencontré Tarkovski, Mgr Antoine Bloom. Son père, le poète Arseni Tarkovski, a eu cette parole énigmatique après la première de "Miroir", le quatrième film de son fils : "Andrei, ce ne sont pas des films que tu fais..."» C.H.B. Charles de Brantes est directeur de l'Institut International Andrei Tarkovski (Paris, Florence, Moscou), "pour la promotion de l'œuvre artistique d'Andrei Tarkovski et de toute forme d'art que cette œuvre peut inspirer"."
Très librement, mais par notre connaissance de son œuvre et de sa vie un temps côtoyée, l'émission tentera d'amener l'auditeur au seuil de ce mystère que Tarkovski laissait vivre dans son travail créatif. Vers cette renaissance spirituelle qu'il appelait dans tous ses films face au matérialisme dominant. Sa discothèque personnelle, de rares interviews, des lectures d'inédits, comme le scénario "Vent clair", mais aussi de ses livres publiés :"Le Temps scellé", "Le Journal" (Editions des Cahiers du Cinéma), "Les Oeuvres cinématographiques complètes" (Editions Exils), etc.
Les poèmes de son père Arseni Tarkovski qui ponctuent ses films... des témoignages qui montrent combien son œuvre réputée difficile a été reçue avec profondeur et émotion : le metteur en scène Claude Régy, Joël Jouhanneau et Michel Bonpoil qui ont mis en scène au Centre Pompidou le "Visa Tarkovski", le cinéaste et ami de Tarkovski, Paradjanov, et l'un des seuls religieux qu'ait rencontré Tarkovski, Mgr Antoine Bloom. Son père, le poète Arseni Tarkovski, a eu cette parole énigmatique après la première de "Miroir", le quatrième film de son fils : "Andrei, ce ne sont pas des films que tu fais..."» C.H.B. Charles de Brantes est directeur de l'Institut International Andrei Tarkovski (Paris, Florence, Moscou), "pour la promotion de l'œuvre artistique d'Andrei Tarkovski et de toute forme d'art que cette œuvre peut inspirer"."
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